En soutien du foie et des reins souvent débordés, on parle de la peau comme une dérivation émonctorielle provoquant des troubles cutanés. Notre environnement et nos modes de vie moderne affaiblissent notre organisme mais également notre barrière cutanée. Cependant, elle subit de surcroît toutes les agressions environnementales comme :
L’expérience hygiéniste a démontré à de nombreuses reprises que les pathologies de la peau ont pour origine le milieu intérieur de l’organisme. Selon les troubles cutanés, il sera possible de déterminer l’organe sursollicité ou les types de déchets en surcharge :
Pour pallier à l’eczéma, l’unique réponse apportée par l’allopathie est le traitement à base de cortisone. Mal utilisé, un excès de corticoïdes déstabilisera le système immunitaire. Il provoquera de nouvelles allergies et aura un effet délétère sur la peau. C’est ce qu’il se passe avec le Syndrome de la peau rouge également connu sous le nom de Red Skin Syndrom ou Topical Steroid Withdrawl. Il s’agit d’une addiction à la cortisone. Encore souvent méconnue, les symptômes de ce syndrome sont trop souvent confondus avec ceux de l’eczéma; notamment par le corps médical qui rejette l’effet d’une possible addiction. La personne est souvent démunie et augmente la dose de cortisone alors que la réponse est précisément le sevrage de ces crèmes. Cette période peut être longue, entre 3 mois et plusieurs années ; douloureuse et particulièrement inconfortable avec des « flambés » des symptômes le temps que le système immunitaire se rééquilibre.
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Sources : Euronature & mag rgnr