La Détox des Métaux lourds

Détox & Élimination des MÉTAUX LOURDS

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Quid de la détox des métaux lourds ?

Vous le savez peut-être : certains métaux lourds sont neurotoxiques et immunotoxiques. Or l’accumulation de métaux toxiques dans le corps est devenue une réelle problématique. Troubles neurologiques, migraine, prolifération microbienne, électrosensibilité, carences nutritionnelles, syndrome de fatigue chronique, hyperventilation ou encore Alzheimer ?

 

C’est peut-être lié à la présence de métaux lourds ! Et si vous n’avez aucun symptôme, il peut être intéressant de faire des analyses car nous serions tous plus ou moins intoxiqués. Les initiatives pour les éliminer de l’organisme sont multiples mais très risquées. Ainsi, prudence extrême car une mauvaise chélation peut aggraver les symptômes et ré-intoxiquer gravement l’organisme.

Les métaux lourds sont des éléments chimiques métalliques avec un poids supérieur à 5 g/cm3. On en compte 41. Or certains d’entre eux ne sont pas toxiques.

En effet, le fer, le zinc, le cuivre, le cobalt, le chrome, le nickel, le manganèse, le sélénium ou encore l’arsenic sont indispensables à la vie cellulaire quand ils sont à l’état de traces dans l’organisme, mais ils peuvent devenir néfastes en trop grande quantité. Vous les connaissez certainement sous le nom d’oligo-éléments. D’autres, comme le mercure, le plomb et le cadmium ne sont pas utiles à la physiologie humaine et sont donc toxiques, même à faible concentration. L’aluminium, quant à lui, est un métal léger qui n’est pas non plus essentiel à nos fonctions métaboliques.

C’est pourquoi nous parlerons plutôt de « métaux toxiques » pour désigner ces derniers, tout en se rappelant également qu’un métal non toxique (oligo-éléments) peut devenir toxique en trop grande quantité. Ces métaux sont toxiques à plusieurs niveaux. Ils prennent la place d’autres éléments essentiels (par exemple, le plomb remplace le calcium). Ils se lient à d’autres molécules organiques qui vont alors dysfonctionner (par exemple : l’oxygène et l’azote). Ils endommagent nos membranes cellulaires et augmentent la production de radicaux libres. Nous pouvons citer d’autres métaux lourds, comme l’argent et l’or, utiliser comme antibiotique naturel à l’état colloïdal, ou encore le lithium et le bismuth utilisés respectivement par la médecine chimique contre les troubles bipolaires et les infections virales.

Quels TESTS pour connaître son TAUX d’INTOXICATION ?

Le premier est l’analyse du sang et des urines. Pour rappel, les métaux toxiques peuvent se loger à différents endroits du corps : cheveux, ongle, foie, cerveau, tissu adipeux, os et autres. Ainsi, ce taux ne reflète pas l’intoxication chronique, mais seulement une intoxication au cours des dernières 48 h. De plus, on trouve 20 fois plus de métaux lourds dans les selles que dans l’urine car l’or d’empoisonnement métaux lourds, les reins sont endommagés.

Le 2e est l’analyse des selles, bien qu’il soit très difficile de trouver des laboratoires qui la réalise.

Le 3e est l’analyse des cheveux appelés le minéralogramme. Pour le Dr Dietrich Klinghardt, les cheveux reflètent seulement une intoxication aiguë aux métaux mais non la véritable charge dans l’organisme car ce qu’il n’apparaît pas dans le sang n’apparaît pas non plus dans les cheveux, dans l’urine ou les selles. Les métaux lourds pourraient être fixés dans les cellules nerveuses ou dans les tumeurs, ce qui représente les cas les plus graves.

Le 4e est le test EDTA ou DMPS. Il consiste à mesurer le taux de métaux dans les urines, puis à boire une infusion d’ EDTA ou de DMPS (des substances qui provoquent l’expulsion des métaux dans l’organisme) puis réaliser une nouvelle mesure du taux de métaux dans les urines. La différence entre les deux mesures détermine l’importance de l’intoxication.

Ce test n’est pas toujours représentatif car l’infusion ne peut pas être efficace ou les reins du sujet peuvent ne pas correctement fonctionner, ce qui fausse les résultats.

Le 5e est la mesure du taux de galectine-3 dans le sang car cette substance augmente en présence de méthodes toxiques.

On peut aussi citer l’oligoscan qui mesure le taux de méthode toxique à l’aide d’un spectromètre portable connecté un ordinateur. Selon son fabricant : « C’est une méthode analytique quantitative consistant à mesurer l’absorption ou la densité optique d’une substance chimique. Elle est basée sur le principe d’absorption, d’émission ou de réflexion de la lumière par les composés chimiques sur une certaine plage de longueur d’onde ».

Enfin, le docteur Yoshiaki Omura et Dietrich Klinghardt ont tous les deux découvert que la méthode des tests musculaires (kinésiologie) est le moyen le plus sûr, le plus rapide et le moins coûteux de déceler la présence de métaux lourds dans le corps.

Quand les Candidas Albicans viennent à notre rescousse …

Le Candida Albican est ce champignon très connu qui peuple naturellement notre organisme. Lorsqu’il prolifère anormalement, on parle de candidose. Ce dernier est à l’origine de troubles et symptômes bénins à graves qui peuvent toucher la peau et différentes régions du corps. Le candida devient alors un ennemi à éliminer. Aussi étonnant que cela puisse paraître, le candida protège des méfaits des métaux toxiques, notamment du mercure, en les contenant dans leurs parois cellulaire !

Tuer les candidats pourrait alors provoquer la libération des métaux qu’ils contiennent. Ainsi, les candidoses comme les maladies infectieuses peuvent être une tentative du corps pour se défendre contre le mercure. Le docteur Yoshiaki Omura a d’ailleurs trouvé une relation entre les maladies virales et bactériennes et les dépôts de mercure. Si le candida prolifère, nous le répétons, c’est parce que le terrain y est propice et le demande. Pour se débarrasser d’une candidose, il faut donc d’abord corriger le terrain, en débutant par une chélation des métaux toxiques.

OÙ SE TROUVE les Métaux toxiques dans notre quotidien ?

Les expositions problématiques sont celles aux métaux lourds biologiquement inutilisables par notre organisme (mercure, aluminium, cadmium et plomb) et celles aux métaux lourds en trop grande quantité (arsenic, chrome, cuivre, manganèse, nickel, sélénium, zinc). Quand ces métaux s’accumulent progressivement dans le corps, ils vont se loger dans plusieurs organes, tel que le cerveau, le foie et les reins, ainsi que dans les os et les tissus adipeux. Nous avons surtout regardé les 4 métaux qui ne sont pas nécessaires à notre physiologie car ils sont toxiques pour nous par nature, même en faible quantité.

Le MERCURE

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Les intoxications au mercure peuvent être issues de plombages dentaires (qui ne sont pas composés de plomb comme on pourrait le penser) qui, en contact avec des aliments chauds, émettent des vapeurs de mercure. Certains vaccins comme les vaccins infantiles (DTP) et certaines marques de vaccins contre l’hépatite B et contre la grippe.

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Les gros poissons (maquereau roi, marlin, hoplostète orange, requin, espadon, saint-pierre, thon obèse, goberge, mérou, maquereau, bar du Chili, thon blanc en conserve, thon albacore) ont des taux de mercure élevés à très élevés à cause du phénomène de bioamplification, d’autres ont des taux plus modérés (bar, carpe, morue, dorade, lotte) ; certains talcs ; certaines batteries et appareils électriques ; certains colorants ; les tatouages ; certains médicaments comme les collyres, les pommades contre le psoriasis, les lotions contre les mycoses, les pommades et les suppositoires contre les hémorroïdes, les diurétiques…

Le PLOMB

Purification de l'eau

Les intoxications au plomb peuvent être issues de certains aliments qui se trouvent dans des contenants à glaçure plombifère ou soudés avec ce métal ; certains produits cosmétiques comme les colorations pour cheveux ou le khôl ; certaines peintures présentes dans les logements construits avant 1975 (mais surtout avant janvier 1949) et d’autres encore présentes sur le marché ; certaines eaux du robinet contaminées par des canalisations vétustes en plomb…

Le CADMIUM

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Les intoxications au cadmium peuvent être issues de l’eau du robinet ; certains aliments contaminés comme le riz, la farine de blé raffinée, les mollusques et crustacés ; d’émanation des industries de la métallurgie du zinc, de la production de pigments, de la fabrication d’accumulateurs, du décapage de peinture ; la fumée de cigarette qui diffuse du cadmium mais aussi du plomb ; certaines prothèses dentaires ; pesticides, fongicides et fertilisants, etc.

L’ALUMINIUM

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L’aluminium est naturellement présent dans les fruits, les légumes, céréales, épices ou fines herbes, les produits laitiers, la viande et les abats. Toutefois des contaminations humaines augmentent notre exposition avec certains déodorants antitranspirants qui, au contact de nos glandes sudoripares, elles-mêmes proches de nos ganglions lymphatiques, augmenteraient les risques du cancer du sein ; nombreux vaccins classiques car l’aluminium est utilisé comme adjuvant.

L’eau du robinet car l’aluminium est utilisée dans des procédures de traitement des eaux ; différents ustensiles de cuisine en aluminium ou en téflon (casserole, marmite, plat à four) qui diffuse ce métal dans nos aliments au contact de la chaleur ou d’aliments acides ; le papier d’aluminium, largement utilisé pour envelopper nos aliments et garder la chaleur, il augmente la contamination de nos aliments surtout lorsqu’ils sont chauds ou acides.

Les canettes, les briques doublées en aluminium ou encore les boîtes de conserve, le lait maternel si la maman est intoxiquée (une petite partie seulement pénètre dans le corps de l’enfant) mais aussi les laits en poudre et les laits de soja commercialisés ; les capsules de café à percolation composées d’aluminium et chauffées pour en extraire le contenu.

Certains médicaments oraux tels que les antiacides et pansements gastro-intestinaux, les antiulcéreux, les hypophosphatémiants, l’aspirine tamponnée, les pansements digestifs antidiarrhéiques ; les solutés de nutrition injectées par voie intraveineuse ou nutrition parentérale totale (NPT) ; mais aussi certains thés, certaines farines blanchies, certains dentifrices, plusieurs additifs alimentaires,etc.

Glyphosate & Aluminium …

Les travaux

Les CHÉLATEURS & les BINDERS

L’EDTA

Le DMPS

Le DMSA

Le PAS

Le GLUTATHION

Le CORIANDRE

La CHLORELLA

L’AIL

L’AIL des OURS

La PECTINE de CITRUS modifiée (MCP)

L’Acide Alpha-Lipoïque (AAL)

Le SILICIUM

Le Méthyle-Sulfonyl-Méthane (MSM)

L’ARGILE

La ZÉOLITHE

L’HUMIFULVATE

La CHITINE-CHITOSANE

La TERRE de DIATOMÉE

Le CHARBON ACTIF

Le SAUNA INFRAROUGE

Les RÈGLES pour une DÉTOX SÉCURITAIRE

  1. Supprimer toutes les formes d’intoxications supplémentaires

  2. S’assurer que les émonctoires sont ouverts et fonctionnels
  3. Reminéraliser en profondeur l’organisme
  4. Nettoyer les intestins et réparer l’hyperméabilité intestinale
  5. Privilégier une détoxification douce, naturelle et sur du long terme
  6. Utiliser différents agents détoxifiants
  7. Entreprendre une détoxification par paliers
  8. Prendre des binders en parralèles

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Sources : Euronature & mag rgnr