L’Isothérapie

Les principes de l’ISOTHÉRAPIE

Homéopathie et sommeil

L’isothérapie est une technique homéopathique qui repose sur l’absorption à très faibles doses des substances mêmes qui ont apporté la maladie, et ce dans le but de traiter la maladie et plus généralement de rétablir l’équilibre de la santé.

La fameuse loi de l’hormèse décrit que lorsqu’un organisme est soumis à une dose très faible d’une substance, il peut stimuler ses défenses et manifester une réponse opposée à celle observée pour une forte dose. Cette loi est observée dans le cadre homéopathique avec de hautes dilutions d’un produit. Ainsi, la substance produit une action à dose pondérale (c’est à dire suffisamment dosée en molécule du principe actif) et elle générera l’action inverse à dose infinitésimale (hautes dilutions). C’est sur ce principe que fonctionne l’isothérapie appelée aussi isopathie.

 

Plusieurs interprétations de ce phénomène se sont succédées. Certains homéopathes expliquent qu’en apportant au corps des doses infimes du poison, l’isothérapie permettrait à l’organisme de relancer les processus de détoxification et d’élimination de ce poison, ce qui amène l’organisme vers la guérison. D’un point de vue subtil, chaque substance laisserait une empreinte dans le champ énergétique d’une personne. L’isothérapie permettrait d’effacer cette empreinte négative, ce qui enlèverait des blocages et favoriserait rapidement la guérison.

Auto et hétéro-isothérapie

D’une part, on distingue l’auto-isothérapie qui utilise des produits issus du malade lui-même (sang, urine, salive, selle). Cette dernière a été interdite en France en 1998, mais est toujours autorisée dans d’autres pays européens. D’autre part, on distingue l’hétéro-isothérapie qui utilise des produits qui ne viennent pas du malade lui-même (médicaments, vaccins, métaux). Chaque produit est dilué et dynamisé selon des procédés précis pour les rendre homéopathiques.

 

L’isothérapie est particulièrement utilisée pour contrer les effets secondaires dus à l’administration d’un vaccin ou d’un médicament. Elle provoque toujours des réactions avec la réapparition des mêmes symptômes préalablement observés lors de l’administration du vaccin ou du médicament mis en cause. Or, comme vous pouvez le découvrir dans notre article sur la loi de Hering, la réapparition d’anciens symptômes va être interprétée comme le signe de guérison. Cela s’accompagne également de symptômes de l’intérieur vers l’extérieur de type fièvre, écoulement, diarrhée, éruption cutanée, urine trouble ou encore odeur désagréable.

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Sources : Euronature & mag rgnr