La détox des reins

Nettoyer, Soutenir et Réparer

La DÉTOX des REINS

Comment NETTOYER, SOUTENIR et RÉPARER les REINS ?

L’EAU BIOCOMPATIBLE

Bien évidemment, l’eau est le principal agent permettant la détox des reins et donc, la filtration rénale et l’évacuation des déchets et toxines. La quantité d’eau nécessaire dépend de l’alimentation consommée. Une alimentation basée sur les fruits et légumes crus apporte déjà une grande quantité d’eau. À l’inverse, une alimentation transformée, cuite, salée, basée sur des féculents et des produits animaux, nécessitera la consommation journalière de 1 à 2 l d’eau toutefois, pour aider les reins, l’eau apportée doit être de qualité, ou dite aussi biocompatible. Bioélectronique de vincent eau biocompatibilité jeûne

Si l’eau apportée n’est pas de qualité, cela risque au contraire de fatiguer la fonction rénale. La meilleure eau est celle que l’on trouve directement dans la nature, dans un endroit réservé de toute pollution. Si vous ne buvez pas l’eau directement à la source, c’est à dire si vous la buvez en bouteille ou en provenance du robinet, il est important de privilégier une eau très faiblement minéralisée (taux de résidus à sec inférieur à 50 mg par litre) afin de ne pas surcharger les reins avec des minéraux organiques.

En effet, les minéraux présents dans de l’eau non structurée, qui ont stagné, perdent leur biodisponibilité. Il est important de privilégier aussi une eau pure, c’est-à-dire contenant peu de bactéries, de germe et de contamination fécale mais aussi aucune pollution chimique. Dans l’idéal, on la choisira légèrement acide(pH entre 6 et 7), réductrice (riche en électrons avec un rH inférieur à 28) et revitaliser par l’effet du vortex.

Le JEÛNE (sec)

Jeûner permet la détox des reins et de régénérer tous les émonctoires. Toutefois, il est important de bien préparer le corps en amont, particulièrement en cas de toxémie élevée, afin de ne pas saturer les reins de toxines remis en circulation lors du jeûne. Ainsi, une bonne descente alimentaire et un drainage des reins sont vivement conseillés avant de commencer à jeûner. Le jeûne sec est particulièrement indiqué pour soulager les reins. En jeûne sec, la seule à traiter est l’eau métabolique (l’eau produite par le corps) qui ne demande pas de travail de transformation supplémentaire. De plus, en jeûne sec, les toxines seraient éliminées à l’intérieur de la cellule grâce à la fièvre et les reins serait alors dispensés d’une élimination importante, leur permettant d’être au repos et donc de se régénérer. Néanmoins, pour certaines pathologies rénales, le jeûne sec reste déconseillé.

Les JUS de LÉGUMES

cure de jus de légumes

Il présente l’intérêt de pouvoir extraire une grande quantité de nutriments bénéfiques pour le bon fonctionnement des émonctoires, mais également des principes actifs aux propriétés diurétiques. Ils vont réhydrater en profondeur l’organisme car ils ne peut retenir les liquides qu’à la hauteur de leur richesse en minéraux biodisponibles.

Les tissus réhydratés (dans les tissus rénaux) seront mieux à même de réaliser les opérations de nettoyage et la détox des reins qui nécessitent généralement beaucoup d’eau.

Les ALIMENTS DIURÉTIQUES

monodiète de pastèqueUne alimentation alcalinisante à dominante végétale est essentielle pour préserver les reins et leur permettre de retrouver leur pleine fonction. Certains aliments sont diurétiques et favorisent donc l’élimination rénale.

 

  • Le jus de citron, de par la présence d’acides volatiles (donc non acidifiants), permet de réduire la formation de calculs et de favoriser la dissolution de ceux déjà existants.
  • Les infusions ou le jus de persil sont particulièrement efficaces pour dissoudre les calculs rénaux et drainer les reins.
  • La pastèque, le melon et le concombre sont des fruits qui vont favoriser la diurèse, c’est-à-dire l’augmentation du débit urinaire.
  • Les graines de courges ont également une action diurétique.
  • La grenade stimule l’excrétion urinaire et diminuerait même le risque de complications chez les patients dialysés.
  • De nombreux autres aliments comme l’asperge, l’artichaut, le céleri branche et la coriandre sont favorables à élimination rénale.

Les HUILES ESSENTIELLES (HE)

huiles essentielles et sommeil
  • L’HE de genévrier et l’huile essentielle majeure pour les affections rénales et urinaires. Elle décongestionne la lymphe, facilite l’élimination rénale et peut être utilisée pour favoriser l’élimination des calculs rénaux.
  • L’HE de carotte soutient les reins dans leurs fonctions d’élimination.
  • L’Huile Essentielle de persil est diurétique et détoxifiante rénale.
  • L’HE de céleri et l’HE de livèche ont des propriétés drainantes et décongestionnantes des reins.
  • Localement, l’HE de gaulthérie, grâce à ses propriétés anti-inflammatoires et antalgiques, permet de soulager les douleurs en cas de calculs rénaux.
  • L’HE de basilic est antispasmodique et facilite l’expulsion des calculs en décontractant les muscles des uretères.
  • L’HE d’eucalyptus citronné favorise la dilatation des canaux urinaires.

Les PLANTES

De très nombreuses plantes ont une action diurétique permettant de drainer et donc de favoriser l’élimination rénale. Elles sont indiquées pour favoriser l’élimination des calculs rénaux et soigner les cystites.

Jeûne & Naturopathie plantes médicinales détox

Voici les principales plantes conseillées pour nettoyer la sphère rénale et plus largement l’appareil urinaire :

  • L’aubier de tilleul (Tilia ssp, aubier)
  • L’ortie (Urtica dioica, plante)
  • Le pissenlit (Taraxacum officinale, feuille)
  • Le chiendent officinal (Elymus repens, racine)
  • Le persil (Petroselinum crispum, feuille)
  • La coriandre (Coriandrum sativum, graine, feuille)
  • La verge d’or (Solidago virgaurea, partie aérienne)
  • Le maïs (Zea mays, stigmate)
  • La pyrole en ombelle (Chimaphila umbellata, feuille)
  • L’artichaut (Cynara Cardunculus var.scolymus, feuille, fleur)
  • Le bouleau (Betula, sève, écorce, feuille, bourgeon)
  • Le lespedeza (Lespedeza capitata, parties aériennes)
  • L’eupatoir chanvrine (Eupatorium cannabinum, fleur, racine)
  • La reine des prés (Filipendula ulmaria, fleur)
  • L’orthosiphon (Orthosiphon stamineus, feuille, fleur)
  • La pariétaire (Parietaria officinalis, feuille)
  • La prêle des champs (Equisetum arvense, feuille, tige)
  • Le genévrier (Juniperus communis L., faux-fruit)
  • L’ail des ours (Allium ursinum L., feuille)
  • La rehmannia (Rehmannia glutinosa, racine)
  • Le phyllanthus (Phyllanthus niruri L., partie aérienne)
  • La bugrane (Ononis spinoza subsp. hirsina, racine)
  • la canneberge (Vaccinium macrocarpon, fruit)
  • Le gingembre (Zingiber officinale, rhizome)
  • Le cerisier (Prunus subg. Cerasus, pédoncule)
  • La bardane (Arctium, racine, feuille)
  • La bruyère (Calluna vulgaris, feuilles, fleurs)
  • La busserole (Arctostaphylos uva-ursi, feuille)
  • Enfin, l’ortie (Urtica dioica, les feuilles et en particulier les graines), en plus d’être diurétique, est l’unique plante dont on a identifié à ce jour des propriétés trophorestauratrices des cellules rénales, c’est-à-dire qu’elle répare en nourrissant.

« L’ortie et l’unique plante qui répare et nourrit les cellules rénales. »

Le CATAPLASME à l’HUILE de RICIN

L’application d’un cataplasme à l’huile de ricin sur les reins permet de réguler localement l’inflammation, d’augmenter la circulation lymphatique et de stimuler le système immunitaire en augmentant la présence de globules blancs sur la zone. Son utilisation peut donc être indiquée en cas de douleur au niveau des reins, mais aussi pour favoriser la détox des reins.

Le SAUNA, le HAMMAM et la HUTTE de SUDATION

La transpiration est obtenue par l’activité physique ou par la pratique du sauna, du hammam ou de la hutte de sudation. Elle permet d’évacuer les toxines par la peau (le troisième rein) et donc d’alléger le travail d’élimination rénale.

La MYCOTHÉRAPIE

Les champignons médicinaux présentent de nombreuses vertus protectrices et régénératrices des émonctoires. Le cordyceps (en extrait concentré) permet de protéger des cellules hépatiques et rénales.

Intéressé(e) par les REINS et les autres organes émonctoires ? Retrouvez nos autres articles sur le sujet, ci-dessous :

Sources : Euronature & mag rgnr