Le vortex est un mouvement tourbillonnaire d’eau (entre autre) qui peut se résumer à une rotation associée à une translation (glissement d’un objet, sans rotation, retournement ni déformation de cet objet). En dynamique des fluides, on parle aussi d’écoulement tourbillonnaire. Au-delà de la beauté indéniable de ces formes qui se manifestent dans l’eau en particulier, des chercheurs comme Viktor Schauberger ont pu montrer que ce mouvement correspond littéralement à la manière qu’a développé la nature pour créer de l’énergie et de l’information à partir du vide. Il va montrer combien la voie naturelle crée de l’ordre et de l’énergie. Là où les techniques de production humaine créent du désordre et de la dépense d’énergie ainsi que de la pollution. Clé de compréhension pour lui, le vortex est une révolution technologique sans précédent.
Le vortex a été principalement étudié par Viktor Schauberger (188-1958), considéré par nombre de chercheurs comme un génie. Inventeur éclectique, il partait toujours de l’observation des phénomènes naturels pour en tirer des lois plus générales. C’est ainsi que très tôt, il remarque des phénomènes extraordinaires qui défient la science académique dont l’étude des tourbillons et de la spirale. Dans son observation de la nature , il affirme avoir été témoin par exemple de la régénération d’un lac de montagne après la création d’un vortex géant en son centre. Il a vu ce vortex aspirait tous les débris de la rive avant de les rejeter dans un immense jet d’eau.
Il observait aussi comment les saumons remontaient vers la surface sans faire le moindre mouvement, simplement en suivant une spirale ascendante. De même, lors de la migration des truites, il fut surpris de remarquer que, tout en restant immobile dans l’axe d’écoulement du torrent, elle parvenait à franchir d’immenses cascades d’un seul bond. Viktor raconte ainsi comment une nuit, il a vu une énorme truite décrire des ellipses au pied d’une cascade de 6 mètres avant d’être aspirée par le le cône d’eau de la cascade « comme en état de lévitation sous l’effet d’une force axiale biomagnétique« .
Selon lui, la truite utilise la force générée par le mouvement en spirale de l’eau qui passe à travers ses ouïes et sur la surface de son corps. Cette force atteint un pic d’intensité à 4 °C qui est la température de densité maximale de l’eau. Il a d’ailleurs validé cette hypothèse en versant 100 l d’eau chaude dans une rivière. Ce qui eut pour effet d’empêcher les truites de remonter le courant car selon lui, la force avait diminué d’intensité avec l’élévation de la température de l’eau.
Ce qui sera commun à toutes ces observations, c’est la corrélation entre la présence d’un mouvement spiralé/tourbillonnaire, appelé aussi vortex. Mais aussi un déploiement d’énergie dans des proportions inconcevables selon les lois de la physique classique.
Le mouvement au sein d’un vortex est un mouvement centripète. C’est-à-dire dirigé par des forces depuis les périphéries vers le centre. L’énergie et la vitesse sont inférieures au début du mouvement. Elle augmente au fur et à mesure que l’on se rapproche de l’axe ou du centre. Le vortex est donc un mouvement qui concentre l’énergie. Un système centripète comme le vortex est un système dit implosif. Il va concentrer, refroidir, organiser la matière et il produit plus d’énergie qu’il n’en consomme. Ceci est remarquable car les systèmes conçus par les humains sont dits centrifuges. C’est-à-dire dirigé à l’inverse par des forces depuis le centre vers la périphérie.
Dans le cas du mouvement centrifuge, l’énergie et la vitesse sont supérieures au début du mouvement et tendent à diminuer au fur et à mesure que l’on s’éloigne de l’axe ou du centre. Un système centripète est un système dit explosif. Il va dissiper chauffer, désorganisez la matière et consommer plus d’énergie qu’il n’en produit.
Les technologies modernes sont toutes basées sur des systèmes centrifuges. Un modèle de l’explosion (par exemple : les moteurs sont des moteurs à explosion) qui dissipe de l’énergie et dont le rendement dépasse rarement 50%. Cela signifie que la moitié de l’énergie consommée est perdue sous forme de chaleur principalement. Notre conception mécaniste du mouvement est fondée sur l’emploi d’énergie explosive dirigée vers l’extérieur qui rencontre toujours une résistance. Ceci engendre chaleur, friction et pollution énergétique. C’est inefficace et cela affecte dangereusement la biodiversité. Un principe de la thermodynamique affirme d’ailleurs que sans apport constant d’énergie extérieure, un système dégénère vers le chaos. Autrement dit, tout système ne fait que perdre de l’énergie, il faut donc l’alimenter en permanence.
La nature n’emploie l’explosion et le mouvement centrifuge que pour décomposer et dissoudre la matière.
Le vortex centripète et donc le modèle amené par la nature pour créer de l’énergie. Viktor Schauberger qualifiait ce mouvement de « constructif ». Le vortex est un schéma énergétique que l’on trouve dans l’eau mais aussi dans l’air, la sève des arbres, etc. C’est un véritable moteur à implosion naturelle qui est présent partout dans la création. Ainsi, le long de l’axe du vortex va se créer un vide accompagné d’un refroidissement. C’est d’ailleurs aussi le cas de l’œil d’un cyclone qui est très froid. De multiples expériences montrent que la concentration d’énergie au cœur d’un vortex peut être énorme, pourtant la science moderne peine encore à l’expliquer. Et pour cause, la mécanique des tourbillons a été abandonnée à la fin du 17e siècle au profit de la mécanique de la gravitation de Newton.
En s’inspirant des vortex centripètes de la nature, Viktor Schauberger a pu créer des machines à mouvement perpétuel et des moteurs à explosion produisant spontanément de l’énergie. Ce qui vient mettre à mal cet axiome de la thermodynamique. L’histoire retient aussi de lui des moteurs à vortex antigravitationnel qui affichaient des performances hors norme pour propulser dans l’air des objets volants. « Chaque goutte provenant d’une bonne eau de source renferme plus d’énergie qu’une centrale électrique moyenne peut en produire » disait Schauberger. La nature a produit des systèmes énergétiques incroyablement plus efficaces que nos techniques actuelles et le vortex en est un parmi les plus représentatifs. La plus grande limite au développement de ces technologies issues des systèmes naturels semblent être un consensus scientifique qui ressemble plus à des dogmes figés.
Les vortex se forment spontanément dans le cours d’une rivière lorsque l’eau va rencontrer un obstacle, comme un rocher. Le vortex est donc toujours une réponse transitoire et impermanente de l’eau à une contrainte. Cette réponse de l’eau aurait pour finalité d’harmoniser et d’équilibrer son environnement. Pour Schauberger, la spirale est la morphologie authentique de l’énergie fluide qui engendre l’ordre à partir du chaos. Ces vortex apparaissent spontanément tournant tantôt dans le sens des aiguilles d’une montre (sens dextrogyre) ou tantôt dans le sens opposé (sens lévogyre).
Au fur et à mesure que l’eau descend le long de l’axe du vortex, celle-ci va subir une accélération et une compression. Combiné aux frictions entre les différentes couches d’eau et volant à des vitesses différentes dans le tourbillon. Cela amène à une destruction/restructuration de l’eau. Les gros clusters (regroupement) de molécules d’eau vont être fractionnées en plus petites unités. Si l’on considère que ce sont les ces clusters de molécules d’eau qui stockent l’information, alors le vortex va nettoyer l’eau de son information et la rendre plus sensible à de nouvelles informations. Elle fait donc un reset en éliminant de sa mémoire le souvenir des énergies nocives liées à son mauvais usage.
C’est pourquoi de nombreux systèmes de purification structuration de l’eau utilisent des vortex afin de nettoyer celle-ci de toutes les informations parfois chaotiques qu’elle a accumulé le long de son parcours. En parallèle, ce vortex va amener à un refroidissement de l’eau qui va dans le sens d’une densification et d’une structuration de celle-ci. Le mouvement de brassage important a aussi pour conséquence une bien meilleure oxygénation de l’eau; comme les multiples remous d’une eau vive. À la sortie d’un vortex, l’eau est généralement plus fluide, plus aérée et dite vivante ou revitalisée. On parle d’ailleurs d’une eau vive pour qualifier les eaux de ruisseaux dans lesquels les vortex et tourbillons sont innombrables.
Le docteur Herbert Klima, professeur à l’institut de physique nucléaire de Vienne, a observé que des graines de soja arrosées avec de l’eau restructurée ont une émission en photons 6 fois plus importante que des graines arrosées avec l’eau non structurée.
Selon le docteur Wang Guiha, agronome, les fruits et légumes arrosés avec de l’eau restructurée auraient également une maturation plus rapide et une concentration en nutriments plus importante. L’irrigation des plantes avec de l’eau structurée permettrait d’économiser 20% d’eau.
Selon le docteur Victor Inyushin, biophysicien et directeur de recherches à l’université Al-Farabi, le cerveau est composé à 85% d’eau. L’eau participerait à la structuration des informations du cerveau. Une eau ayant une mauvaise structure amènerait à des dépressions.
L’inventaire des procédés de structuration de l’eau
Dans son livre La nature de l’eau, Yann Olivaux recense plus de 200 systèmes de dynamisation de l’eau connue en 2007 et qu’il nomme « Procédé de Structurations de l’Eau » (PSE). Il les classe en 2 grandes catégories. Les PSE de type chimique qui utilisent soit des eaux oxygénées, soit d’autres éléments chimiques comme les minéraux. Et les PSE de type physique qui utilise soit des procédés mécaniques, soit des procédés électromagnétiques; soit des ondes sonores, soit des procédés thermiques, soit les énergies subtiles, soit encore des procédés multiprocess.
Les eaux obtenues après dynamisation peuvent être appelées eaux modifiées, eaux structurées, eaux revitalisées, eaux dynamisées ou encore eaux fonctionnelles. Aucun de ces procédés n’a été évalué de manière pluridisciplinaire et indépendante par des tests (biologiques, physico-chimiques en laboratoire et/ou sur le terrain) pour en apprécier objectivement des propriétés particulières. Yann Olivaux a demandé à leurs inventeurs de remplir une fiche d’identification pour permettre aux consommateurs de pouvoir faire un choix éclairé.
Plus d’informations sur la SANTÉ NATURELLE ? Retrouvez nos autres articles sur le sujet, ci-dessous :
Sources : Euronature & mag rgnr