L’eau dite potable que nous consommons majoritairement répondent aux critères de l’EDCH (Eau Destinée à la Consommation Humaine) et est définie comme une eau qui « ne porte pas atteinte à la santé ». Mais est-elle pour autant bonne pour la santé ? Potable ne signifie pas favorable à la santé.
C’est pourquoi de nombreux scientifiques et spécialistes de l’eau, tel que Pierre-Jean Garel, Joseph Orszagh, Louis-Claude Vincent, Jeanne Rousseau, Yann Olivaux, se sont alors intéressés à la dimension qualitative et même thérapeutique de l’eau, au-delà de son critère de potabilité.
Le concept « d’eau biocompatible » ou de « biocompatibilité de l’eau » a émergé pour désigner l’eau alimentaire de qualité et favorable à la santé.
La bioélectronique est une technique d’analyse physico-chimique inventée par l’ingénieur hydrologue Louis-Claude Vincent.
Cette technique mesure la qualité des liquides des produits et du terrain d’un individu ont analysant son sang, son urine et sa salive.
Louis-Claude Vincent s’appuie aussi sur le potentiel rédox (E) qui mesure la différence de potentiel des micro-courants électriques induits par les échanges de protons et d’électrons, et sur la quantification de Vincent (W) qui mesure l’énergie vitale.
En s’appuyant sur les travaux de Louis-Claude Vincent, le professeur Joseph Orszagh, chercheur universitaire spécialiste de l’eau a estimé qu’une eau qualifiée de biocompatible doit répondre au moins à 4 critères. Elle doit être :
À contrario, une eau alcaline et oxydée, ce qui est le cas des eaux chlorées ou de l’eau du robinet, ne seraient pas bonne pour la santé. Car elles ne sont pas compatibles avec notre tube digestif qui est acide au niveau de l’estomac. Et plutôt neutre à légèrement basique au niveau de l’intestin.
Cette eau va donc perturber notre digestion. De surcroît, le chlore très oxydant va créer des sous-produits en se combinant avec d’autres substances et déclencher la production de radicaux libres responsables du stress oxydatif et du vieillissement prématuré.
En plus des paramètres de Louis-Claude Vincent, le professeur Orszagh prend en compte le titre hydrométrique (TH) qui se réfère à la dureté de l’eau mais aussi le degré de saturation en oxygène, la turbidité de l’eau qui est la capacité de l’eau à diffuser ou absorber la lumière incidente, et la teneur en substance indésirable (nitrate, ammonium).
Les eaux minérales et de source contiennent naturellement des minéraux puisque l’eau voyage dans les profondeurs. Elle se charge des minéraux qu’elle rencontre, avant de remonter à la surface. En fonction des sources, elles peuvent avoir des traces plus ou moins importantes de certains oligoéléments. Telles que l’iode, le silicium, le fer, le fluor, le brome, la manganèse, l’arsenic, etc.
On qualifie une eau de :
Les minéraux sont essentiels au bon fonctionnement de notre organisme. Mais contenus dans l’eau, ces derniers sont-ils bon pour la santé ? La problématique centrale repose sur leur biodisponibilité, c’est-à-dire leur capacité à être assimilées et utilisées par le corps. Pour répondre à cette question, il faut savoir que les minéraux existent d’une part sous forme inorganique, c’est-à-dire sous forme brute. Ce sont les minéraux que l’on retrouve dans les sols. D’autre part, il existe sous forme organique, c’est-à-dire au moins lié à un atome de carbone et d’hydrogène. Ce sont les minéraux que l’on retrouve dans les végétaux.
Or nous sommes des organismes dits hétérotrophes. Ce qui signifie que nous sommes incapables de synthétiser nous-mêmes nos éléments constituants. C’est pourquoi nous avons recours à des sources de matières organiques exogènes.
Contrairement aux organismes dits autotrophes comme les végétaux chlorophylliens, nous ne pouvons pas correctement utiliser les minéraux sous format brut.
Ainsi nous assimilons bien mieux les minéraux par le biais de la consommation de végétaux et d’animaux ayant consommé eux-mêmes des végétaux, car ils ont transformé les minéraux inorganiques sous forme organique.
Parmi les minéraux assimilables par nos organismes, on trouve d’une part les minéraux organiques sous forme chélatée présents dans les végétaux (minéraux associés à d’autres composés chimiques). Et d’autre part, les minéraux inorganiques sous forme colloïdale présents dans l’eau structurée prise à la source (groupes de minéraux liés par des propriétés électriques spécifiques, dispersés ou en suspension de façon homogène dans l’eau).
Or, les minéraux présents dans la majorité des eaux alimentaires, telles que les eaux en bouteille ou l’eau du robinet; sont principalement non assimilables. En effet, lorsque l’eau est embouteillée ou qu’elle passe dans le réseau, elle perd sa structure. Les minéraux sous forme colloïdale s’agrègent entre eux et perdent leurs charges électrostatiques transitoires. Celles qui étaient issues de l’agitation et de la friction des molécules entre elles. Si on restructure une eau à la maison, il faudrait donc la boire rapidement après sa revitalisation. Avant qu’elle ne reperde sa charge électrostatique. Par contre, l’eau directement bu à la source n’a pas ses inconvénients.
Les eaux contenant des minéraux non assimilables encrassent l’organisme, affaiblissent les reins, entraîne des dépôts responsables de calculs rénaux et autres calcifications. À l’instar des eaux très pures (c’est-à-dire dépourvues de minéraux) qui ne sont pas adéquates non plus car trop agressives pour nos organismes. L’équation eau et santé n’est donc pas bonne.
Louis-Claude Vincent estimait que le seuil de minéralisation ne devait pas être inférieur à 10 mg / litre. Une eau de la teneur aux minéraux serait idéale est comprise entre 10 mg / litre à 150 mg / litre de résidus à sec. Par contre, nous pouvons consommer des liquides avec des minéraux biodisponibles. Pour cela, il est préférable de se diriger vers l’eau but directement à l’endroit où la source sort du sol car elle est sous forme structurée. Mais aussi vers l’eau de Quinton, car elle contient du phyto et du zooplancton rendant les minéraux assimilables et les jus de légumes car ils sont tirés directement des végétaux. Les consommateurs au quotidien des jus de légumes témoignent même très souvent ne jamais avoir besoin de boire de l’eau; car les jus leur apportent l’hydratation et les minéraux nécessaires.
Pour finir, une eau idéale doit être idéalement structuré, c’est-à-dire ordonnée, dépolluée d’informations néfastes et capable de rendre la forme assimilable des minéraux. Pour plus d’informations retrouver notre article sur le vortex.
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Sources : Euronature & mag rgnr