Une EAU BIOCOMPATIBLE pour la santé

La notion de BIOCOMPATIBILITÉ DE L’EAU, ou l’eau favorable à la santé

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L’eau dite potable que nous consommons majoritairement répondent aux critères de l’EDCH (Eau Destinée à la Consommation Humaine) et est définie comme une eau  qui « ne porte pas atteinte à la santé ». Mais est-elle pour autant bonne pour la santé ? Potable ne signifie pas favorable à la santé.

 

C’est pourquoi de nombreux scientifiques et spécialistes de l’eau, tel que Pierre-Jean Garel, Joseph Orszagh, Louis-Claude Vincent, Jeanne Rousseau, Yann Olivaux, se sont alors intéressés à la dimension qualitative et même thérapeutique de l’eau, au-delà de son critère de potabilité.

 

Le concept « d’eau biocompatible » ou de « biocompatibilité de l’eau » a émergé pour désigner l’eau alimentaire de qualité et favorable à la santé.

Les apports de la bioélectronique

 

La bioélectronique est une technique d’analyse physico-chimique inventée par l’ingénieur hydrologue Louis-Claude Vincent.

Cette technique mesure la qualité des liquides des produits et du terrain d’un individu ont analysant son sang, son urine et sa salive.

 

Pour rappel, la bioélectronique s’appuie sur l’analyse de plusieurs paramètres principaux :

 

  • le PH (Potentiel Hydrogène). Il mesure le niveau acido-basique en relevant la concentration en protons sur une échelle de 0 à 14. Plus il est riche en protons, plus le milieu est acide. et inversement. Si le PH est inférieur à 7, on tend vers l’acidité. Si le PH est égal à 7, c’est neutre et si le PH est supérieur à 7, on tend vers l’alcalinité.
  • Le rH2: il mesure le niveau oxydant-réducteur en relevant la concentration en électrons sur une échelle de 0 à 42. Plus il est riche en électrons, plus le milieu est réducteur (ou réduit) et favorable à la vie. Plus il est pauvre en électrons, plus le milieu est oxydant (ou oxydé) et biocide. Si le rH2 est inférieur à 28, on tend vers la réduction. Si le rH2 est égal à 28, c’est neutre et si le rH2 est supérieur à 28, on tend vers l’oxydation.
  • Le rô (p) : il mesure la résistivité, autrement dit le niveau de résistance au passage du courant électrique, en relevant la concentration en électrolytes (substances conductrices car elles contiennent des ions mobiles). Plus la concentration en électrolytes est grande, plus la réceptivité est faible, et inversement. Autrement dit, plus le milieu contient d’électrolytes, plus il est perméable aux inductions électromagnétiques. Moins il y a d’électrolytes, plus le milieu est résistant.

 

Louis-Claude Vincent s’appuie aussi sur le potentiel rédox (E) qui mesure la différence de potentiel des micro-courants électriques induits par les échanges de protons et d’électrons, et sur la quantification de Vincent (W) qui mesure l’énergie vitale.

 

Les travaux de Vincent ont permis de déterminer 5 catégories d’eaux :

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  • Les eaux parfaites : elles ont un pH légèrement acide (entre 5 et 7), un rH2 légèrement réducteur (entre 25 et 28), une concentration en électrolyte faible donc une résistivité élevée (p > 6000). C’est le cas par exemple de l’eau Mont Roucous et Montcalm.
  • Les eaux purifiées par osmose inverse. Elles ont un pH légèrement acide (entre 6 et 7), un rH2 légèrement réducteur (21) et aucun électrolyte, donc une très haute résistivité.
  • Eaux thermales : elles ont un pH légèrement acide (entre 5,4 et 6,8), un rH2 réducteur (entre 13 et 19) et une concentration en électrolytes élevée donc une résistance faible (p < 400).
  • Les eaux traitées et stérilisées au chlore ou à l’ozone : elles ont un pH alcalin (entre 8 et 9,5), un rH2 oxydant (entre 26 et 35) et très peu d’électrolytes.
  • Les eaux pollués : elles ont un pH alcalin (entre 7,6 et 8,6), un rH2 réducteur (entre 14 et 26) et très peu d’électrolytes.

Eau et Santé … Les apports du professeur Joseph Orszagh

 

En s’appuyant sur les travaux de Louis-Claude Vincent, le professeur Joseph Orszagh, chercheur universitaire spécialiste de l’eau a estimé qu’une eau qualifiée de biocompatible doit répondre au moins à 4 critères. Elle doit être :

 

  • Pur, c’est-à-dire qu’elle contient peu de bactéries, de germes et de contamination fécale, et pas de pollution chimique.
  • Légère, c’est-à-dire quelle est peu minéralisée avec des résidus secs inférieurs à 120 mg par litre pour éviter de surcharger l’organisme avec des minéraux non ou peu assimilables.
  • Acide, c’est-à-dire avec un pH entre 6 et 7.
  • Réductrice, c’est-à-dire riche en électrons avec un rH2 inférieur à 28.

 

À contrario, une eau alcaline et oxydée, ce qui est le cas des eaux chlorées ou de l’eau du robinet, ne seraient pas bonne pour la santé. Car elles ne sont pas compatibles avec notre tube digestif qui est acide au niveau de l’estomac. Et plutôt neutre à légèrement basique au niveau de l’intestin.

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Cette eau va donc perturber notre digestion. De surcroît, le chlore très oxydant va créer des sous-produits en se combinant avec d’autres substances et déclencher la production de radicaux libres responsables du stress oxydatif et du vieillissement prématuré.

 

En plus des paramètres de Louis-Claude Vincent, le professeur Orszagh prend en compte le titre hydrométrique (TH) qui se réfère à la dureté de l’eau mais aussi le degré de saturation en oxygène, la turbidité de l’eau qui est la capacité de l’eau à diffuser ou absorber la lumière incidente, et la teneur en substance indésirable (nitrate, ammonium).

La teneur en minéraux idéal pour une eau bonne pour la santé

Question de la bio comptabilité

 

Les eaux minérales et de source contiennent naturellement des minéraux puisque l’eau voyage dans les profondeurs. Elle se charge des minéraux qu’elle rencontre, avant de remonter à la surface. En fonction des sources, elles peuvent avoir des traces plus ou moins importantes de certains oligoéléments. Telles que l’iode, le silicium, le fer, le fluor, le brome, la manganèse, l’arsenic, etc.

On qualifie une eau de :

  • Très faiblement minéralisée si la teneur globale (TG) en sels minéraux est inférieure à 50 mg / litre.
  • Faiblement minéralisée si sa teneur globale (TG) en sels minéraux est entre 50 et 500 mg / litre.
  • Moyennement minéralisée si sa teneur globale (TG) en sel minéraux est entre 500 et 1500 mg / litre.
  • Riche en sels minéraux si sa teneur globale (TG) est supérieure à 1500 mg / litre de résidus à sec.

 

Les minéraux sont essentiels au bon fonctionnement de notre organisme. Mais contenus dans l’eau, ces derniers sont-ils bon pour la santé ? La problématique centrale repose sur leur biodisponibilité, c’est-à-dire leur capacité à être assimilées et utilisées par le corps. Pour répondre à cette question, il faut savoir que les minéraux existent d’une part sous forme inorganique, c’est-à-dire sous forme brute. Ce sont les minéraux que l’on retrouve dans les sols. D’autre part, il existe sous forme organique, c’est-à-dire au moins lié à un atome de carbone et d’hydrogène. Ce sont les minéraux que l’on retrouve dans les végétaux.

Hétérotrophe VS Autotrophe

 

Or nous sommes des organismes dits hétérotrophes. Ce qui signifie que nous sommes incapables de synthétiser nous-mêmes nos éléments constituants. C’est pourquoi nous avons recours à des sources de matières organiques exogènes.

Contrairement aux organismes dits autotrophes comme les végétaux chlorophylliens, nous ne pouvons pas correctement utiliser les minéraux sous format brut.

 

Ainsi nous assimilons bien mieux les minéraux par le biais de la consommation de végétaux et d’animaux ayant consommé eux-mêmes des végétaux, car ils ont transformé les minéraux inorganiques sous forme organique.

Parmi les minéraux assimilables par nos organismes, on trouve d’une part les minéraux organiques sous forme chélatée présents dans les végétaux (minéraux associés à d’autres composés chimiques). Et d’autre part, les minéraux inorganiques sous forme colloïdale présents dans l’eau structurée prise à la source (groupes de minéraux liés par des propriétés électriques spécifiques, dispersés ou en suspension de façon homogène dans l’eau).

 

Or, les minéraux présents dans la majorité des eaux alimentaires, telles que les eaux en bouteille ou l’eau du robinet; sont principalement non assimilables. En effet, lorsque l’eau est embouteillée ou qu’elle passe dans le réseau, elle perd sa structure. Les minéraux sous forme colloïdale s’agrègent entre eux et perdent leurs charges électrostatiques transitoires. Celles qui étaient issues de l’agitation et de la friction des molécules entre elles. Si on restructure une eau à la maison, il faudrait donc la boire rapidement après sa revitalisation. Avant qu’elle ne reperde sa charge électrostatique. Par contre, l’eau directement bu à la source n’a pas ses inconvénients.

 

En conclusion

Les eaux contenant des minéraux non assimilables encrassent l’organisme, affaiblissent les reins, entraîne des dépôts responsables de calculs rénaux et autres calcifications. À l’instar des eaux très pures (c’est-à-dire dépourvues de minéraux) qui ne sont pas adéquates non plus car trop agressives pour nos organismes. L’équation eau et santé n’est donc pas bonne.

 

Louis-Claude Vincent estimait que le seuil de minéralisation ne devait pas être inférieur à 10 mg / litre. Une eau de la teneur aux minéraux serait idéale est comprise entre 10 mg / litre à 150 mg / litre de résidus à sec. Par contre, nous pouvons consommer des liquides avec des minéraux biodisponibles. Pour cela, il est préférable de se diriger vers l’eau but directement à l’endroit où la source sort du sol car elle est sous forme structurée. Mais aussi vers l’eau de Quinton, car elle contient du phyto et du zooplancton rendant les minéraux assimilables et les jus de légumes car ils sont tirés directement des végétaux. Les consommateurs au quotidien des jus de légumes témoignent même très souvent ne jamais avoir besoin de boire de l’eau; car les jus leur apportent l’hydratation et les minéraux nécessaires.

Sa structure

 

Pour finir, une eau idéale doit être idéalement structuré, c’est-à-dire ordonnée, dépolluée d’informations néfastes et capable de rendre la forme assimilable des minéraux. Pour plus d’informations retrouver notre article sur le vortex.

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Sources : Euronature & mag rgnr