L’eau qu’elle soit utilisée en jeûne ou en dehors est un élément extraordinaire car elle possède des propriétés exceptionnelles, comme des propriétés solvantes très puissantes. Elle est aussi le seul élément qui se présente sous plusieurs états : liquide, solide, gazeux mais aussi dans un état nouvellement découvert, celui de l’état cristal-liquide.
Mais elle constitue aussi un élément mystérieux car elle présente des caractéristiques chimiques dites anormales en comparaison aux autres éléments. L’eau ne répond pas aux mêmes lois qu’eux. Par exemple, elle augmente en volume en dessous de 0 °C, alors que toutes les autres substances se contractent quand la température baisse, et inversement l’eau diminue de volume jusqu’à 4 °C, alors que toutes les autres substances se dilatent quand la température augmente.
Les scientifiques continuent de lui découvrir des propriétés et la question se pose même de savoir si l’eau serait capable de stocker l’information et de la restituer, ce que l’on appelle la mémoire de l’eau.
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De nombreux scientifiques et chercheurs ont contribué à déceler les secrets de l’eau.
Le garde forestier autrichien Viktor Schauberger (1885-1958) a apporté beaucoup de réflexions et de pistes de compréhension sur le comportement et les pouvoirs de l’eau, en observant attentivement la nature, notamment en étudiant le mouvement naturel de l’eau et la force émanant des vortex.
En France, le naturaliste René Quinton (1886-1925), génie autodidacte qui excellait dans tous les domaines allant de la littérature aux sciences en passant par l’ingénierie découvre comment soigner avec de l’eau de mer filtrée et participe à l’ouverture de dispensaires marins dans les grandes villes.
L’ingénieur Marcel violet (1887-1973) découvre quant à lui l’existence d’un rayonnement non lumineux qui a des effets sur l’eau. Il observe que l’eau « dopée » par les orages à des caractéristiques particulières et que les animaux sont attirés par cette eau.
Grâce à un appareil qu’il conçoit, il injecte une fréquence de 1024 Hz dans l’eau de manière à la modifier et à lui donner les caractéristiques de l’eau d’orage, ce qui apporterait force vitale et santé de fer aux consommateurs de cette dernière.
On peut citer aussi les travaux de Rodolphe Lavinay qui utilisait des flash lumineux délivrés à un rythme précis, donnant à l’eau les qualités vitales de l’orage, travaux qui ont été poursuivis par la société Aqua Prima.
Un autre ingénieur français apportera beaucoup à l’eau, c’est Louis-Claude Vincent (1906-1988), inventeur de la bioélectronique, ainsi que son assistance Jeanne Rousseau (1915 2012) qui conçoit la fameuse baignoire hydrospire à double vortex. Grâce à son appareil, le bioélectronigramme, il mesure les paramètres de certains liquides et en détermine la qualité. Il délimite ainsi 4 milieux principaux.
De son côté l’ingénieur hydraulique allemand Théodor Schwenk (1910-1986) met au point la méthode des gouttes sensibles qui consistent à faire tomber des gouttes d’eau dans du glycol pour observer la manière dont les molécules se déplacent et apprécier la qualité de l’eau. Dans son livre Le chaos sensible, il contribue à éveiller une conscience écologique en ce qui concerne l’eau.
On peut citer aussi l’autrichien autodidacte Johann Grander (1930-2012) qui développe un traitement de l’eau à partir d’un moteur à aimant naturel.
Concernant la fameuse mémoire de l’eau, le docteur en physique Vinh Luu (1936-2013) et sa femme Claudine Luu sont les premiers à l’évoquer en affirmant que les mécanismes d’action des dilutions homéopathiques s’expliquent par une signature électromagnétique dans l’eau. Ils expliquent qu’on ne peut pas comprendre l’eau et ses propriétés chimiques sans la prise en compte de l’énergie électromagnétique étudiée par les physiciens.
Puis le biologiste français Jacques Benveniste (1935-2004) rend médiatique sur le plan scientifique le sujet de la mémoire de l’eau. Suite à ces expériences dans son unité de l’Inserm, il valide les effets des hautes dilutions et donc le principe de l’homéopathie. C’est le prix Nobel Luc Montagnier qui va ensuite poursuivre ses recherches et confirmer que les expériences de Benveniste fonctionnent bien.
Le chercheur japonais Masaru Emoto (1943-2014) va rendre célèbre la structure de l’eau auprès du grand public grâce à ces magnifiques clichés de cristaux d’eau que l’on peut retrouver dans ces ouvrages et dans le documentaire Water, les pouvoirs secrets de l’eau.
Alexander Lauterwasser, quant à lui, étudié les formes générées par les vibrations acoustiques et les fréquences dans l’eau sur la base de la cymatique (technique permettant la visualisation des vibrations acoustiques) de Hans Jenny.
Parmi nos contemporains les chercheurs français, on retrouve les apports scientifiques du professeur Marc Henry, qui approche l’eau également sous l’angle de la physique quantique. Selon lui, pour valider la mémoire de l’eau, il ne faut pas rester dans le cadre étroit de la physique classique où on quantifie la matière. Il faut nécessairement se diriger vers un cadre plus large, celui de la physique quantique des champs, cadre dans lequel il est tenu compte d’une substance primordiale, indestructible et présente partout dans l’univers : le vide. Le vide n’est pas aussi vide qu’on le pense, c’est pourquoi Marc Henry préfère l’appeler l’éther.
Le chercheur Jacques Collin publie plusieurs publie plusieurs ouvrages tels que L’eau, le miracle oublié ou L’insoutenable vérité de l’eau qui connaissent un grand succès.
On citera également l’incroyable travail de synthèse très complet et très rigoureux sur tous les aspects de l’eau du biophysicien Yann Olivaux dans son livre La nature de l’eau.
À l’étranger, Gérald Pollak développe la découverte d’un 4e état de l’eau et le professeur Martin Chaplin étudie entre autres les liaisons hydrogènes de l’eau à l’université South Bank de Londres.
Reconnaissance à tous ces chercheurs, ainsi qu’aux nombreux autres que nous n’avons pas cités et qui contribuent à déceler les mystères encore non révélés de l’eau et à faire avancer la science.
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Sources : Euronature & mag rgnr